Sur un plan général
Récemment le journal libération a publié une carte des communes, des hôpitaux, des bailleurs sociaux qui ont contracté des emprunts dits « toxiques », notamment via une banque.
D’ailleurs, cette dernière conteste l’adjectif « toxique ».
Le fait est, elle a vendu à ses clients des emprunts structurés avec des taux dont la variation suit l’évolution d’autres actifs tels que le cours d’une autre monnaie, le baril du pétrole, l’inflation ou l’évolution de valeurs réelles comme le cacao.
Ces contrats sont d’une grande complexité et tout le monde n’avait pas prévu les éventuels risques liés à ces actifs.
Certes, ce type de contrat peut faire gagner beaucoup mais en l’occurrence il a généré plus de surcoût que de gains. Lire la suite »